Depuis un certain temps, un écrivain guadeloupéen vient nourrir tous les jours la colonie de pélicans, à 11 heures, au moment où Nico repart en excursion dans les îlets.
Friands de poissons frais et entiers, pas un seul ne manquerait le rendez-vous quotidien!
Ils avaient disparus car chassés à outrance pour leur graisse.